Des ruines en construction et des constructions en ruine, des mondes entropiques, des architectures dystopiques, des petites machines de guerre. Des formes, assemblées, coulées, bétonnées.
Des surfaces grises, désolées, striées. Des surfaces écrans, des murs. Des surfaces sensibles, imprégnées, rembrunie.
En archéo-anthropologue des « formes perdues », mon travail reconstitue des sculptures nées d’architectures auxquelles je redonne mémoire et matérialité. A travers des voyages réels et virtuels mon travail explore des inventions singulières contemporaine ou lointaines créées par l’Homme.
Villes et villages abandonnés ayant servi à des expérimentations militaires, communautés hippies ayant vécu à la fin des années 60 des expériences utopiques et artistiques, conflits architecturaux et ensembles pavillonnaires sont mes principaux sujets et le point de départ de mes productions.
Alexis Judic vit et travaille à Nantes